jeudi 12 novembre 2015

Découvez le nouveau Yahoo, Légèrement inspiré par Google

Yahoo présente la nouvelle version de son moteur de recherche. Celui-ci est réservé aux utilisateurs de Mozilla Firefox basés aux États-Unis. Ceux qui utilisent Google mais souhaitent passer sur Yahoo ne seront pas perdus : Yahoo a décidé de « légèrement s’inspirer » de Google – le mot est plutôt faible.
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Parmi les « nouveautés », Yahoo insiste sur la possibilité de visualiser directement les photos de célébrités ou les affiches de films sans cliquer sur « Images ». Ces médias sont placés entre le champ de recherche et les résultats naturels. Yahoo annonce également que de nombreuses informations liées aux requêtes seront désormais rassemblées au sein du Knowledge Graph d’un encart, placé à droite des résultats. Le principe est d’agréger du contenu sur des films, des musiques ou des événements sportifs par exemple, à partir de sites tels que IMDB, Yelp, Trip Advisor et d’autres (sans doute Wikipédia). Outre ces ressemblances fonctionnelles, Yahoo a également décidé de s’inspirer du design de Google. Nous avons joué au jeu des 7 différences, nous nous sommes arrêté à 3 : le bleu des liens est plus éclatant, le bouton Search est plus imposant, et Yahoo a remplacé le logo Google par le sien. Hormis ceci, rien à signaler, les utilisateurs de Google ne seront pas dépaysés.

source: http://www.blogdumoderateur.com/yahoo-firefox-us/

Facebook, Google ou Amazon : qui sera le roi de la data ?

Ils sont trois américains. Trois géants qui s'activent, plus ou moins discrètement, pour proposer la meilleure qualité de data possible aux annonceurs et aux agences du monde entier.
Non, Google n'est plus le simple moteur de recherches de ses débuts. Tout comme Facebook ne se cantonne plus uniquement à un réseau social. Et Amazon est bien plus que l'e-commerçant le plus populaire au monde. Ces trois géants de l'Internet se sont, en effet, lancés depuis quelques années dans une course à la data aussi discrète que stratégique.
Dans cette compétition où ne gagnera pas forcément celui qui part le plus vite, c'est Google qui donne le tempo en 2007, avec le rachat pour 3,1 milliards de dollars de DoubleClick, un fournisseur de solutions de gestion de campagnes publicitaires en ligne. Le moteur mise gros, mais le mouvement stratégique est fondamental et les concurrents nombreux sur le dossier : Yahoo, Microsoft, AOL... Huit ans plus tard, Google domine le marché publicitaire online de la tête et des épaules, avec près de 31,5 % de parts de marché dans le monde en 2014, selon eMarketer. Mais l'émergence du mobile est en train de changer la donne.
Le rapport de force tend en effet à s'inverser à mesure que s'opère le basculement des usages sur mobile où Facebook réalise déjà 60 % de son chiffre d'affaires publicitaire grâce à sa galaxie d'applications : Facebook, Messenger et Instagram en tête. Google et sa régie AdMob souffrent, eux, du manque d'attrait des formats Web mobile, considérés comme moins premiums que les interstitiels et formats natifs applicatifs.
D'autant qu'avec les rachats coup sur coup de l'adserver Atlas et de la plateforme programmatique vidéo Liverail, Facebook a jeté les fondations d'une plateforme publicitaire full-stack, c’est-à-dire gérant les ventes directes et programmatiques, sur tous les devices et pour tous les formats. Le tout infusé par la data que le géant collecte quotidiennement auprès de ses 1,6 milliard d'utilisateurs… et des autres.
Le DSP de Facebook prévu pour début 2016
La DMP de Google existe déjà dans les faits
La concurrence s'active face au DSP - DMP de Google
"Facebook est omniprésent grâce à son outil "Facebook Connect" qu'utilisent aujourd'hui toutes les applications et à ses pixels qui traquent le reste du Web via les fonctionnalités proposant de liker ou commenter depuis un site d'annonceur ou de média", analyse Franck Farrugia, cofondateur de l'agence Re-mind. Marc Zuckerberg a en outre beaucoup investi dans le traitement de données par extrapolation de comportements.
Désormais, il ne se contente plus de trouver des profils similaires à vos clients, des "look-alike", sur la foi de quelques like en commun. Facebook brasse tellement de données que l'observation de certains comportements d'ampleur permet d'en tirer des prédictions d'autres comportements. Annonceurs et agences attendent donc avec impatience l'arrivée annoncée pour le premier semestre 2016 de sa Demand Side Platform (DSP), adossé à Atlas. Des groupes comme Omnicom Group et Havas ont même déjà commencé à tester l'outil, qui leur permet d'acheter au sein de Facebook et d'autres applications mobile via l'ad-network " Audience Network ".
Google va permettre d'identifier ses clients via Gmail
Ce nouveau chapitre dans la bataille des géants du numérique laisse présager une contre-attaque de Google qui ne peut rester inactif. D'autant qu'Amazon commence lui aussi à déployer sa propre DSP. D'ailleurs, on sait déjà que Google va bientôt permettre le matching entre les données first-party de ses annonceurs clients et celles de ses utilisateurs identifiés sur Gmail, sur son moteur de recherche et sur YouTube. Un "Customer Match" qui rappelle le "Customer Audience" de Facebook et qui permettra aux annonceurs de consolider les adresses mails de leurs bases de données clients avec celles des utilisateurs connectés depuis leurs comptes Google.
Ce processus d'identification à partir de données personnelles en "dur" telles que les adresses email et les Android ID permet en outre à Google de s'affranchir du système des cookies dont on connaît les limites sur mobile. Tout cela venant alimenter la Data Management Platform (DMP) de Google, Doubleclick Audience Center, actuellement en cours de finalisation.
Google communique peu dans les médias sur ce dernier point, parce que la solution existe en fait depuis longtemps. Le fait de connecter Google Analytics Premium à Doubleclick Search, à Doubleclick Campaign Manager et à Doubleclick Bid Manager permet d'obtenir les mêmes possibilités d'activation qu'une DMP. Mais le géant est beaucoup plus actif commercialement, en pitchant les principales agences françaises sur le sujet et en mettant en avant la facilité d'installation de sa solution "tagless", 100 % intégrée (et donc sans déperdition de data) qui permet un accès exclusif à la data Google.
"Ils sont très agressifs sur le sujet. Les DMP qui ne bénéficient pas d'un DSP ne peuvent en effet plus poser de pixel de tracking sur le réseau GDN (Google Display Network) depuis début mars 2015", nous confie un patron d'agence digitale. La décision affecte directement des solutions comme Krux, Acxiom, Makazi ou encore Mille Mercis et permet à Google de verrouiller le marché avec ses nombreux outils gratuits et déjà utilisés par les médias et annonceurs.
Trente personnes au sein du trading desk d'Amazon
Plus discret, Amazon compte pourtant déjà près de trente collaborateurs dédiés à son activité de "publisher trading-desk". Cette solution permet aux annonceurs d'utiliser la data de l'e-commerçant pour leurs prises de parole. Une data "marchande" qui est souvent très performante en termes d'intention d'achat et qui génère de belles tractions côté ventes.
"Certaines marques sont cependant rétives à y piocher, de peur de recréer avec Amazon la relation de dépendance qui les a longtemps liées à la grande distribution. Car il faut garder en tête que l'écosystème publicitaire que met en place Amazon descend souvent vers… Amazon", tempère Pierre Calmard, directeur général d'iProspect. Autre problème soulevé par Franck Farrugia : "Amazon est loin d'avoir le reach de Google et Facebook en France. Et la plateforme n'est pas légitime sur beaucoup de sujets comme l'automobile ou la finance."
Si la tendance actuelle semble favoriser Facebook, la concurrence s'active en coulisse. "Chacune des grandes plateformes digitales tente de construire un écosystème de vente d’espaces publicitaires fondé sur l’utilisation de données exclusives", décrypte Pierre Calmard. La valeur réside donc dans la qualification de l'internaute et la capacité à cibler la publicité. Moins générique que la data éditeur, fondée sur des éléments tangibles de consommation (requêtes précises, contenus de mails, produits et services achetés…), la donnée recueillie par ces acteurs est infiniment plus efficace lorsqu’il s’agit de communiquer au bon moment auprès des bonnes personnes.
Les annonceurs seront-ils prêt à confier leur data à ces géants ?
"Facebook sait qui on est et ce que l'on aime, Google ce que l'on cherche et Amazon ce que l'on achète ", illustre Paul Amsellem, président du Mobile Network Group. De quoi permettre au trio de régner en maître sur le marché de la data ? Pas certain pour autant..." Je vois mal nos clients se tourner vers Facebook ou Google pour leur projet de DMP ", résume un prestataire technologique qui explique que " beaucoup veulent que leurs données restent quoi qu'il arrive en France ".
Et puis, relève Pierre Calmard, ces géants devront aussi composer avec la concurrence d'acteurs d'un nouveau genre, les "décodeurs", ceux qui savent interpréter et manipuler les interfaces numériques en y injectant de la donnée pertinente. "Avec l'intelligence artificielle et les algorithmes déployés par des Rocketfuel, Quantcast ou encore Radium One, émerge une nouvelle classe d'acteurs qui ne "détiennent" rien en propre… mais "aspirent" tout. Tout ce que vous faites sur votre ordinateur et sur votre mobile laisse des traces numériques qu'il est possible de compiler et d'analyser." Et pour cause, les utilisateurs de Facebook, Google et Amazon ne sont pas exclusifs à ces plateformes. Ils vont également sur des sites médias, des sites de jeux et toute une flopée de sites de divertissement dans le genre.
Les aspirateurs de data pourraient rafler la mise
Cet univers très fragmenté est aujourd'hui très difficile à quadriller pour les acteurs technologiques qui ne peuvent pas s'appuyer sur des identifiants uniques comme les trois géants précités. Pour le moment. En témoigne l'émergence d'une technique comme le fingerprinting, qui consiste à recueillir une série d'informations dont la combinaison forme une signature unique permettant de "reconnaître" un utilisateur et de suivre son activité sur le Web. Bientôt, sans doute, un acteur technologique pourra proposer de la data très fine, sans recourir à des cookies et des adresses mails… Sans même détenir de l'inventaire en propre. C'est le vrai "big data" : savoir déterminer, à partir de centaines de milliers de variables et pour des millions d'individus, le meilleur ciblage temps réel. Et à ce petit jeu, les géants historiques du numérique n'ont pas encore gagné la partie.  

source: http://www.journaldunet.com/ebusiness/publicite/1164532-facebook-google-et-amazon-roi-de-la-data/

Google met à jour Android Wear, compatibilité cellulaire à la clé

Google vient de lancer une nouvelle version d'Android Wear pour accompagner le lancement de la Watch Urbane 2 de LG. Elle apporte la compatibilité cellulaire et lui permettra de faire usage de son port SIM pour offrir une expérience aussi complète avec que sans smartphone compagnon.
LG a dévoilé une nouvelle montre Android Wear le mois dernier, la Watch Urbane 2. Si vous vous souvenez du premier modèle, toujours en vente sur le Play Store, vous remarquerez que le constructeur a apporté plusieurs améliorations mais la principale est évidemment l'intégration d'un port SIM, et plus précisément nano-SIM, pour une expérience complète sans smartphone. Une première sur Android Wear, qu'il a donc fallu adapter.
Android Wear mis à jour pour pouvoir se connecter aux réseaux cellulaires
Eh oui. Car l'OS à porter de Google n'est pas compatible au cellulaire. La Watch Urbane 2 a donc beau être équipée, sans une mise à jour, son port SIM ne lui sert à rien. Heureusement, Google n'est pas du genre à se faire prier. Lorsque Sony est arrivé avec sa SmartWatch 3, première montre Android Wear avec GPS, il a lancé une version de l'OS capable d'en tirer profit. Et il vient naturellement d'en faire de même pour la nouvelle montre de LG.
Il vient ainsi d'annoncer une mise à jour sur le blog officiel d'Android. La Watch Urbane 2 en profitera nativement bien sûr. Aucun autre modèle n'est cité mais c'est plutôt normal puisqu'elle n'apporte rien de plus que le support cellulaire. C'est évidemment déjà une bonne chose. Comprenez simplement qu'il n'y aura rien pour vous si vous êtes déjà équipé d'une montre Android Wear.
Android Wear sans compromis, même sans smartphone
Il sera ainsi possible de retrouver toutes les fonctionnalités d'Android Wear au poignet et, surtout, sans smartphone dans la poche. Les coureurs devraient apprécier. Cela inclut évidemment l'envoi et la réception de messages, la recherche avec Google Now, la navigation ou encore vos applications favorites. Sans oublier les appels.
Rappelons au passage que la Watch Urbane 2 est équipée d'un haut-parleur, en plus du micro obligatoire avec Android Wear. Pas besoin d'investir dans un casque Bluetooth pour en profiter donc, même si c'est évidemment préférable si vous ne souhaitez pas tout partager avec votre entourage direct ou encore avoir l'air idiot en parlant dans votre montre...

Nous n'avons toujours aucune date de sortie française pour la nouvelle montre de LG mais il est désormais possible de l'acheter aux Etats-Unis ainsi qu'en Corée. Les autres marchés suivront dans les prochains mois.

source: http://www.lesmobiles.com/actualite/20018-google-met-a-jour-android-wear-compatibilite-cellulaire-a-la-cle.html

Anti-trust : nouveau front européen pour Google, la cartographie sur Android

Ce n’est encore qu’un questionnaire, mais il témoigne de l’intérêt des autorités bruxelloises pour les causes de la prévalence de Google sur le marché de la cartographie sur Android.
Selon Bloomberg Business, la Commission européenne a adressé un questionnaire à plusieurs acteurs concurrents, comme Tom-tom, Garmin ou Here, l’application de navigation de Nokia. L’enjeu ? Savoir si Google Maps a supplanté les GPS concurrents, qu’ils soient logiciels, matériels, voire embarqués dans les véhicules. Cette initiative veut nourrir de futures conclusions en glanant également des données volumétriques comme le nombre d’utilisateurs, les coûts supportés par les éditeurs, etc.
Cette mesure s’inscrit dans la lignée de l’enquête formelle ouverte en avril 2015 concernant Android, en plus d’un autre front visant le moteur de recherche. Margrethe Vestager, commissaire européenne chargée de la politique de concurrence, avait alors commenté ses objectifs : « Les smartphonestablettes et autres appareils similaires jouent un rôle de plus en plus important dans la vie quotidienne de nombreuses personnes et je veux faire en sorte que les marchés de ce secteur puissent prospérer sans contraintes anticoncurrentielles imposées par quelque société que ce soit ».
Inquiétudes sur les accords passés avec Google
  1. Google oblige-t-il ou incite-t-il les fabricants de smartphones à préinstaller exclusivement les applications ou services de Google?
  1. Google empêche-t-il ces acteurs de développer et commercialiser des versions modifiées et potentiellement concurrentes d'Android ?
  1. Google a-t-il illégalement entravé ce marché en liant ou groupant ses services et applications distribués sur des appareils Android avec d'autres applications, services et/ou interfaces de programmation d'applications de son cru ?

source: http://www.nextinpact.com/news/97279-anti-trust-nouveau-front-europeen-pour-google-cartographie-sur-android.htm

Les Google Car sont encore plus mignonnes

Pour tester sa technologie de voiture autonome, Google utilise des véhicules classiques pour lesquels le moteur de recherche a installé une batterie de capteurs sur le toit. Mais l’entreprise a aussi mis au point des prototypes de voitures toutes rondes qui embarquent l’électronique.
Ces Google Car sont la représentation de la volonté du groupe de s’imposer sur ce marché en devenir, et probablement très fructueux. Histoire de leur donner une plus grande personnalité encore, Google a demandé à des artistes californiens de réaliser des œuvres sur le thème « ma communauté, mes voisins ».
La dizaine d’artistes sélectionnés par Google vont voir leurs travaux sur les portières d’autant de véhicules, qui sont testés actuellement sur les routes de San Francisco. L’entreprise a lancé le même concours à Austin, là aussi pour décorer les petites voitures.

source: http://www.journaldugeek.com/2015/11/12/les-google-car-sont-encore-plus-mignonnes/

Les utilisateurs d’Android peuvent tester Firefox OS 2.5

La version Firefox OS 2.5 Developer Preview remplace l’écran d’accueil d’Android par celui du système d’exploitation mobile de Mozilla.
© DR

mercredi 11 novembre 2015

Google améliore la qualité des appels vidéo passés avec Hangouts

Google n'abandonne pas la version Web de Hangouts, loin s'en faut. Le service vient de bénéficier d'améliorations, qui lui font gagner en rapidité et en qualité vidéo.
Google -
Google 

Apple Music est désormais disponible sous Android


L’application de musique en ligne d’Apple est enfin disponible pour les terminaux fonctionnant sous l’OS mobile de Google… en version bêta en tout cas.
Apple - Apple Music sur Android
Apple Music en version Beta pour Android

Les nouveaux smartphones Pulp de Wiko sur la rampe de lancement

Les Pulp 4G et Pulp Fab 4G de Wiko débarquent dans les rayons fin novembre et ils bénéficient d'un excellent rapport équipement prix. 
Wiko - Pulp Fab 4G
Pulp Fab 4G : une batterie de 2820 mAh

Google Now on Tap en Français avant la fin de l’année ?

Aparna Chennapragada est la directrice de l’ingénierie de l’assistant virtuel Google Now. Elle revient pour nous sur la fonctionnalité Now on Tap lancée le mois dernier avec la dernière version d’Android. Interview.
Google - Aparna Chennapragada, la directrice de l’ingénierie de l’assistant virtuel Google Now.
01net : Quand Google Now on tap sera-t-il accessible en Français ?
Est-il prévu d’intégrer Now on Tap sur d’autres appareils comme ceux de Samsung ou de Huawei ?
Quels sont les changements qu'apporte le smartphone à la recherche sur Internet ?
Cortana, Siri, Google Now.. Y-a-t-il une guerre des assistants numériques entre vous, Apple et Microsoft ? 
Est-ce que c’est l’intelligence artificielle qui fera la différence dans cette compétition ?
Google Now ne manque-t-il pas de personnalité par rapport à Cortana ou Siri ?
Quid de la vie privée des utilisateurs de Google Now on Tap ?